Cette Carte du tendre se lit comme une déambulation dans l’espace et le temps stéphanois, de 1972 à 1992.
Odyssée urbaine, elle retrace par la poésie des toponymes, parcelles de réalité ou d’imaginaire, la géographie d’une histoire : celle du passage de l’enfance à l’âge adulte. S’informant de ce qui forme et déforme dans le parcours dessiné par la saisie des lignes du cœur, le lecteur est invité à s’émou-VOIR d’où il vient.
Sandrine Stamatakis Vie et travaille en tant qu’enseignante à Saint-Étienne